À-t-il sévi lorsqu’il était en poste à Neuilly ? C’est la question à laquelle la direction de l’institution Saint-Dominique aimerait répondre alors qu’un homme ayant enseigné dans l’établissement a été mis en cause dans l’affaire Bétharram.
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D’après les informations de BFM TV, un courrier a été envoyé aux chefs d’établissement de l’enseignement catholique des Hauts-de-Seine et aux anciens élèves de Saint-Dominique.
La direction diocésaine aimerait ainsi favoriser la libération de la parole et inciter les potentielles victimes à se manifester. « Tout doit être mis en œuvre, et avec détermination, pour que la parole soit libérée, et que la lumière soit faite dans une coopération sans réserve, sans restriction, avec les autorités publiques compétentes », retranscrit le média.
L’homme né en 1955 et aurait exercé en tant que censeur entre septembre 1989 et juillet 1997. Dans l’affaire Bétharram, dix-huit personnes l’accusent d’agression sexuelle, 55 de violences volontaires et une de viol. Tous les plaignants étaient mineurs au moment des faits. Il a malgré tout été remis en liberté car les faits sont prescrits.
Pour l’heure, aucune plainte n’aurait été déposée.
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