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Des journaux, des interviews, de l’expertise, une revue de presse, de l’humeur… Emmené par Dimitri Pavlenko, Europe 1 Matin, c’est deux heures d’informations, mais pas seulement. C’est aussi du décryptage et de l’analyse pour mieux comprendre le monde qui nous entoure et les enjeux derrière les dernières actualités. Politique, société, économie, faits divers, sport… Aucun sujet n’échappe à la rédaction d’Europe 1. <br />

L’équipe contact92.com vous propose ce post qui traite du sujet « Actualités Hauts-de-Seine ». Le site contact92.com est fait pour publier différents posts sur la thématique Actualités Hauts-de-Seine publiées sur le web. Cette chronique est reproduite du mieux possible. Si par hasard vous souhaitez apporter des modifications sur le thème « Actualités Hauts-de-Seine », vous êtes libre de joindre notre journaliste responsable. En visitant de façon régulière nos contenus de blog vous serez informé des prochaines annonces.

Le Département des Hauts-de-Seine veut « reconnecter » ses habitants à la nature. Réduire l’empreinte carbone, protéger la biodiversité et améliorer la qualité de vie des altoséquanais sont les objectifs fixés dans l’agenda 2030. Pour mener à bien ces missions, le Département compte notamment créer des parcs, multiplier les plantations d’arbres et renforcer le cadre de leur protection. « Le Département des Hauts-de-Seine renforce son action en adoptant le nouveau Guide de l’arbre, un outil ambitieux pour mieux protéger, évaluer et valoriser notre patrimoine arboré », annonce-t-il.

Barème de valeur des arbres

Outre la plantation de quelque 30 000 arbres entre 2026 et 2030, contre 40 000 entre 2010 et 2020, le Département veut surtout mieux les protéger. Dans son « Guide de l’arbre », il présente le barème de la valeur des arbres qu’il met en place. Ce dispositif vise à évaluer « de manière objective et standardisée » leur valeur économique et écologique. « Cet outil est essentiel pour justifier les décisions de préservation ou de remplacement des arbres, en tenant compte de leur contribution à l’environnement et à la qualité de vie des citoyens », fait savoir le Département.

La plantation d’arbres peut effectivement générer des avantages économiques en augmentant la valeur des habitations et des aménagements alentour. Elle permet en outre de créer des emplois dans les secteurs du paysage, de la production agricole et de l’ingénierie. Les arbres jouent en outre un rôle dans la régulation des températures, la prévention de l’érosion des sols et la gestion des ressources en eau.

Concrètement, toute dégradation ou destruction lors d’une intervention de chantier par exemple fera l’objet d’une indemnisation financière selon la valeur de l’arbre touché. Troncs, branches, racines… Les zones aériennes ainsi que les systèmes racinaires des arbres sont sujets à d’importantes contraintes en ville. Le barème peut être servir de référentiel en cas de travaux, d’accidents et d’expropriations.

Dans le détail, en cas de dégradation, l’indemnité correspond à la valeur d’aménité de l’arbre calculée selon le barème, multipliée par le pourcentage correspondant au préjudice subi. Un forfait de replantation est également ajouté si l’arbre est considéré comme perdu.

Création de parcs

En 2024, le conseil départemental avait voté en faveur de la création de 50 hectares de verdure supplémentaires dans les Hauts-de-Seine. La création de cinq nouveaux parcs avait ainsi été actée, parmi lesquels certains doivent ouvrir prochainement.

L’extension du parc du Chemin de l’Île à Nanterre se poursuit donc, le parc de l’île Seguin à Boulogne-Billancourt et le parc de la Roseraie à Châtenay-Malabry se préparent, eux, à accueillir leurs premiers badauds d’ici l’année prochaine.

Le grand parc des berges de Seine à Courbevoie s’agrandit aussi avec la création de huit kilomètres supplémentaires de berges aménagées.

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• #Ecologie
• #Environnement

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Par La Rédac · Photos par My de Sortiraparis · Publié le 16 mai 2025 à 15h34

Pour la Nuit des Musées, les musées des Hauts-de-Seine nous proposent de nombreuses nocturnes exceptionnelles et visites gratuites ce samedi 17 mai 2025. Découvrez notre sélection des sorties à découvrir dans le 92 !

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Venez fêter la nouvelle Fête de la musique le samedi 21 juin 2025 dans les Hauts-de-Seine ! Cette année encore, la commune de Boulogne-Billancourt vous réserve un programme riche et varié avec au menu plus de 30 concerts gratuits répartis dans toute la ville.

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« Je ne savais même pas que ça existait ! » Daniel ne feint vraiment pas l’étonnement lorsqu’il apprend que des toilettes publiques se situent au niveau -1 des Passages. Il est pourtant un habitué du centre commercial de Boulogne-Billancourt, en tout cas de sa Fnac et de son rayon vinyles. « Après, moi, je ne viens pas pour visiter, hein, la musique, c’est sérieux », rigole-t-il ses galettes noires du jour sous le bras.
Malgré tout curieux, le quinquagénaire accepte d’aller jeter un œil aux commodités flambant neuves. Il y a quelques mois, le groupe Klépierre a décidé de prendre à bras-le-corps la question du confort des sanitaires du centre dont il est le propriétaire. « Longtemps, nos toilettes ont été l’irritant principal de notre clientèle », concède Julien Clemente Jodar, contacté par actu.

« Avant, ça faisait limite coupe-gorge »

Le directeur du centre n’a pas besoin de s’étaler sur le sujet. Une employée de bureau qui file retrouver son poste de travail lâche : « Avant, ça faisait limite coupe-gorge. C’était sombre et ça sentait… ». Une femme un peu plus âgée qui s’occupe de personnes en perte d’autonomie dans les environs détaille : « Il y avait des feuilles de papier au sol, qui était mouillé, il n’y avait jamais assez de savon. Oui, c’était dégueulasse. »

Conscient de ses lacunes en matière d’accueil, et désireux de tenir son rang de leadeur européen des centres commerciaux, Klépierre a fait appel à One Hundred Restrooms, une entreprise néerlandaise dont c’est la première incursion en France et pour qui « chaque passage aux toilettes devrait constituer un moment de bien-être de cinq minutes, dans un environnement hygiénique et sûr », vante-t-elle sur son site Internet.

Testé et approuvé. Modernes, spacieuses, diffusant un agréable parfum comme une musique apaisante, les installations sont briquées dès l’ouverture du centre jusqu’à sa fermeture. Trois employés de la société Derichebourg s’y relaient toute la journée pour s’assurer ici que les pompes à savon sont remplies, là que les clients ne restent pas bloqués au tourniquet d’entrée. Car oui, pour accéder à ces toilettes VIP, il faut verser à l’heure actuelle la somme de 1 euro. En sont toutefois exemptés les enfants de moins de 7 ans et leur accompagnant, ainsi que pour les personnes enceintes et celles en situation de handicap, souligne Julien Clemente Jodar.

« Au début, les gens n’étaient pas contents »

Daniel, lui, maugrée : « C’est quand même un peu agaçant. J’ai payé pour mon stationnement, j’ai réglé mes achats et là, il faut aussi que je paie pour aller aux toilettes. » Une rengaine qu’il n’est pas le seul à avoir partagée. « Au début, les gens n’étaient pas contents », confirme rapidement un des employés de Derichebourg. Une Boulonnaise renchérit : « Que voulez-vous, ça fait toujours mal de payer, surtout pour un besoin élémentaire. Je pense en plus aux SDF, ou à certains malades chroniques. Même si ce n’est pas grand-chose finalement, 1 euro, et que ce doit être plus cher ailleurs, j’en suis certaine, c’est une question de principe. »

Dans un article de 20 Minutes, publié en novembre 2024 à l’occasion de la Journée mondiale des toilettes, Dominique Desjeux, anthropologue spécialiste de la consommation, expliquait ce ressenti : « Du côté du consommateur, les usages collectifs ne relèvent pas du privé : on peut marcher gratuitement dans les champs ou les forêts, se baigner gratuitement à la plage… Utiliser des toilettes est tellement vu comme général que ça choque de devoir payer. Et le fait de faire cohabiter toilettes publiques gratuites et payantes, notamment dans les villes comme Paris, renforce le sentiment d’indignation. »

Sentiment qui a déjà plané dans les Hauts-de-Seine. En mai 2021, après sa fermeture forcée due à la crise sanitaire, le centre commercial Westfield Les 4 Temps de Puteaux a lui aussi rendu payant l’accès aux toilettes. « Il y a des gens qui n’ont pas les moyens de payer c’est scandaleux. Ça doit être un service gratuit », protestait alors Monique auprès du site Défense92. « L’objectif, c’est d’améliorer la qualité globale et la prestation pour nos visiteurs », justifiait à l’époque Thibault Desmidt, le directeur du centre.

« Un service cher doit être efficient »

Un argument qu’avance aujourd’hui de son côté Julien Clemente Jodar : « Déléguer cette prestation à un partenaire externe garantit un service de grande qualité et qui s’inscrit dans le positionnement du centre commercial Passages. Mais ce service impliquait une participation financière, qui est alignée en termes de tarifs sur la plupart des lieux publics. » Sociologue et auteur du livre Toilettes publiques, Essai sur les commodités urbaines (Presses De Sciences Po, 2023), Julien Damon relevait dans 20 Minutes que « rendre des toilettes payantes, ça ne sert pas uniquement à couvrir le coût de la maintenance, mais aussi à repousser les » indésirables « (..). Ce n’est pas qu’une question de morale, mais aussi une question publique : un service cher doit être efficient. En écartant les conduites inciviles, les toilettes sont plus aisément maintenues. »

Rappelons également qu’à Paris, les toilettes publiques ont été payantes jusqu’en 2006. Leur gratuité n’aurait pas incité davantage les Parisiens à les utiliser. En cause, selon le sociologue : la dégradation de leur confort et de leur hygiène…

À Boulogne, les protestations se sont frayées un chemin jusqu’aux oreilles du maire, Pierre-Christophe Baguet (LR), nous indiquait ce dernier il y a peu. Elles se sont finalement tues. Une jeune fille filant rapidement vers la sortie tranche : « Je m’en fiche de payer, le plus important, c’est que ça craigne plus et que ce soit propre. »

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C’est un sauvetage en cage. Deux perroquets gris du Gabon ont été saisis à Clichy-la-Garenne (Hauts-de-Seine) par la police début mai 2025. Une intervention des forces de l’ordre dans un entrepôt de contrefaçon a permis de découvrir le trafic de ces animaux rares et en voie d’extinction.

« Les deux oiseaux vivaient au milieu de leurs excréments, enfermés dans des conditions indignes, sans soins adaptés, sans papier prouvant leur origine, sans respect de leurs besoins élémentaires », s’est affligé Action protection animale (APA) dans une publication postée sur les réseaux sociaux. L’association a œuvré pour secourir les deux perroquets.

Des oiseaux « très bavards »

« Depuis leur arrivée, ils sont en sécurité et entourés par des professionnels attentifs à leur bien-être. Ils se délectent de fruits frais chaque jour, leur petit plaisir favori, et l’un des deux nous a indiqué de lui même s’appeler Paco », se réjouit désormais l’organisation. Cette espèce d’oiseau protégée est réputée très bavarde mais a été extraite de son milieu naturelle pour « satisfaire des intérêts privés d’humains en manque d’exotisme », dénonce APA.

La Direction régionale de l’Environnement, de l’Aménagement et du Logement (DREAL) a été saisie par l’association afin d’obtenir l’autorisation de transport nécessaire à leur relocalisation.

Ils devraient bientôt quitter l’Île-de-France pour la Belgique où seront pris en charge par une association spécialiste de la faune sauvage. « Ils pourront entamer une nouvelle vie paisible, loin de l’enfermement et de la négligence », se réjouit d’avance APA.

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Lors de la Nuit Blanche 2025, le Parc des bords de Seine à Rueil-Malmaison, dans les Hauts-de-Seine (92), se transforme en lieu de fête et de jeu. Venez profiter d’une soirée riche en animations ce 7 juin 2025.

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La circulation à Issy-les-Moulineaux va être modifiée dans une partie de la ville. À partir de lundi 19 mai 2025, des travaux d’entretien vont débuter dans le souterrain du pont d’Issy-les-Moulineaux.

Vitesse réduite

Conséquences : la circulation est interdite dans le souterrain du Pont d’Issy, dans le sens Issy-Meudon et en surface par la bretelle du Pont d’Issy, du lundi 19 mai au vendredi 23 mai 2025, de 09h30 à 16h30. Une déviation sera mise en place pour réduire les embouteillages qui ne seront peut-être pas évitables.

Attention, la vitesse sera réduite à 30 km/h. Le cheminement et la protection des piétons restent assurés en toutes circonstances. Des mesures prises pour « assurer la sécurité des usagers et des agents appelés à intervenir », signale la préfecture des Hauts-de-Seine dans un arrêté.

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• #Circulation

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La sécheresse de 1976 figure parmi les épisodes secs les plus intenses qu’ait connu la France depuis la seconde moitié du XXème siècle. Elle a frappé l’Europe du Nord-Ouest dès l’automne 1975, et s’est poursuivie jusqu’en août 1976. Un large tiers nord de la France a été sinistré, ruinant le secteur de l’agriculture et de l’élevage. Si la situation actuelle peut sembler similaire de prime abord, il y a cependant des différences de fond importantes.

Une configuration météorologique qui ressemble à celle de 1976

Comme en 1976, on constate cette année une récurrence d’anticyclones de blocage s’installant entre les Iles Britanniques et la mer du Nord, engendrant des flux de nord-est véhiculant de l’air continental très sec avec un ensoleillement particulièrement généreux. Comme en 1976, les villes des Hauts-de-France caracolent en tête des villes les plus ensoleillées en ce printemps 2025. Dans un tel contexte météorologique, les précipitations sont rares sur l’extrême nord de la France. À noter qu’en 1976, les hautes pressions étendaient leur influence un peu plus au sud que cette année.

1976 : un déficit pluviométrique qui avait débuté dès l’hiver

Comparaison des sécheresses de 1976 et 2025 au Nord © La Chaine Météo

La sécheresse de 1976 avait débuté beaucoup plus précocement que cette année, avec un déficit pluviométrique important dès le mois de décembre 1975. Cette année, le déficit pour la moitié nord n’a commencé à s’installer vraiment qu’à partir de février.

Le printemps actuel présente certes un manque de pluie assez similaire à 1976, mais la recharge hydrologique a été plus beaucoup plus fournie pendant l’automne et l’hiver derniers. Et c’est sans parler de l’hiver 2023-2024 qui avait été extrêmement pluvieux avec des inondations importantes dans le Nord-Pas-de-Calais.

Conséquence : si la sécheresse de surface actuelle est presque aussi marquée qu’en 1976, les nappes phréatiques et le niveau des cours d’eau restent plus élevés, ce qui constitue une différence importante concernant les réserves en eau.

Précisions qu’en 1976, la sécheresse avait perduré jusqu’à la fin de l’été avec des températures très élevées et de nombreux incendies pendant les moissons.

Une sécheresse moins étendue qu’en 1976

Cette année-là, c’était un grand quart nord-ouest qui était durement touché par la sécheresse avec un déficit pluviométrique important sur des régions peu habituées comme la Bretagne, les Pays de Loire ou le Cotentin. Cette année 2025, la sécheresse se limite essentiellement aux régions situées au nord de la Seine, depuis les Hauts-de-France jusqu’au Grand Est.

Une sécheresse qui s’aggrave dans les Hauts de France © La Chaine Météo

Des nappes phréatiques et des cours d’eau encore bien alimentés en 2025

La grande différence entre le printemps 2025 et celui de 1976 vient des cours d’eau et des nappes phréatiques qui sont à un niveau bien supérieur cette année. Après une année 2024 très arrosée et un hiver 2023-2024 record sur certaines zones du Nord-Pas-de-Calais, les nappes phréatiques restent excédentaires, ce qui permet d’avoir des réserves suffisantes pour l’irrigation et l’alimentation en eau potable et industrielle.

En 1976, des rivières comme la Lys, la Scarpe ou la Canche ont vu leur débit diminuer drastiquement. Certaines portions étaient à sec ou réduites à des filets d’eau.

Les dernières simulations de l’atmosphère montre que la situation météo pourrait changer autour du 23-25 mai avec le retour d’un temps plus perturbé avec l’espoir de revoir la pluie tomber. La fiabilité est encore un peu limitée, mais les signes d’un changement de situation météo sont bien là.

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